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Aziyadé Baudouin-Talec

 

 

 

Présentation      / Aziyadé Baudouin-Talec

 

  Je suis actuellement en thèse de théâtre à la Sorbonne Nouvelle Paris III après avoir passé une Licence Théâtre/Lettres Modernes puis un Master de Théâtre et suivi parallèlement des cours de théâtre au Conservatoire de Cergy Pontoise dans la classe de Thierry Lagall (2004-2006), au Cours Florent (2006-2007), au Conservatoire dʼOrléans dans la classe de Fabrice Pruvost (2007-2008) puis au Conservatoire du 14ème arrondissement de Paris dans la classe de Jean-François Prévand (2008-2010). 

 

Dans le cadre de ma thèse j'étudie le dispositif sur la scène contemporaine chez plusieurs metteurs en scène notamment, Claude Régy, Pascal Rambert, Philippe Quesne, Olivier Lagarde.

 

Ces deux formations m’ont permis dʼavoir un point de vue théorique et une expérience de la pratique théâtrale.

 

Pendant mes années de Licence Théâtre/Lettres Modernes et de Master Théâtre, j’ai écrit des scènes, des nouvelles, Contenu bref (2009), Des nouvelles d’un chien (2009) et Diffraction (2010), et des pièces de théâtre dont A ciel Ouvert (2008), Complexe de la parole (2009), Voix Souterraines (2010), Les Essoufflés (2011) et deux scénarios Fiction I et II (2009) et Dérivés (2010).

J'ai participé en tant que comédienne à Une (micro) histoire économique du monde dansée (2010) de Pascal Rambert et aux court-métrage Les Lunettes Noires et Sol et Notte d'Alissa Wenz (élève à La Fémis). 

 

A ce jour, j’ai réalisé trois vidéos, Monstres (2007), En voix de perdition (2007) et Liquid Liquid (2010), un film, Dérivés réalisé de février à juin 2011 et mis en scène La cantatrice chauve d'Eugène Ionesco présentée au Festival des Ephémères à Orléans (2008) et Les Essoufflés présentée à la Sorbonne Paris 3 et au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (2012). 

 

J’ai présenté en juillet 2012 une lecture au Repère. Mabit Moreno, Lucas Onestas et Caroline Kervern ont lu plusieurs de mes textes de poésie sonore, (« Noui », « Quatre langues », « Porcelaine », « Flux », « Translation », « Permutation en SSS »).

 

L’image projetée, photographie et vidéo, est centrale dans mes recherches. Elle n’est jamais illustrative mais se pose comme un contrepoint à la parole.

 

J’ai fondé en 2012, la compagnie Apparatus. Les recherches développées à l’intérieur de la compagnie se nourrissent de philosophie, de musique, d’art et de danse contemporaine. Je souhaiterais par la suite développer des collaborations réelles avec des spécialistes appartenant à des champs élargies de la recherche (philosophes, compositeurs, circaciens).